Un baquet réglable en hauteur et formant réceptacle pour le paquetage de survie. Véritable squelette du siège, il permet de ne pas disperser le pilote et son paquetage de survie tant que le parachute ne s’est pas ouvert.
Un dossier formant réceptacle pour les parachutes sur les sièges les plus anciens (Martin Baker Mk4). Un appuie tête recevant le parachute stabilisateur (MK4) ou les deux parachutes : stabilisateur et principal (MK10).
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Un harnais pilote équipé d’un système de rappel de buste : système pyrotechnique qui plaque le harnais au baquet au niveau des épaules afin que le pilote soit en bonne position avant le coup de pied au derrière).
Un système d’éjection pyrotechnique, assurant le départ et l’évacuation de l’avion dans des conditions physiologiquement acceptables. Tout est fonction de l’altitude et de la vitesse : à la fois pour que la séquence complète d’éjection de déroule complètement (2.65 secondes entre le tirage de poignée et l’ouverture de voilure pour un Mk10) et pour que physiologiquement le corps résiste aux agressions du monde extérieur à la cabine (souffle du vent relatif, température très basse, faible pression atmosphérique).
Un système de rappel de jambes qui ramène les chevilles du pilote vers l’arrière lorsque le siège commence à quitter la cabine. (sur les films des premiers essais des premiers sièges éjectables. on voit les pauvres pilotes d’essai se faire écarteler par le vent relatif ! On a donc prévu des rappels de membres pour éviter que bras et jambes ne partent dans des directions opposées au sens du bon déroulement de la séquence d’éjection).
Des mécanismes assurant automatiquement la séparation siège/pilote, et l’ouverture des parachutes.
Une centrale à oxygène.
Un paquetage de survie.[/two_third_last]
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