Pour la photo de mercredi j’ai choisi un des avions qui aujourd’hui représente la capacité de l’Ukraine à refuser son invasion par les troupes du dictateur Vladimir Poutine. L’appareil en question est un des deux Beriev Be 12 Chaïka d’origine soviétique qui aujourd’hui représente une grosse partie des moyens de l’aéronavale ukrainienne. Ce modèle d’avion amphibie vole cependant assez peu.
Conçu à l’origine pour la lutte anti-sous-marine il est désormais opéré par l’aviation navale ukrainienne afin de guider les actions contre la marine russe mais également pour de la surveillance côtière. Il peut également assurer des missions de recherches et sauvetages en mer. Sur les dix-huit exemplaires encore en service voici deux ans il ne reste plus que deux Beriev Be 12 Chaïka, dont l’exemplaire représenté ci-dessus.
Photo © ministère ukrainien de la défense.
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6 Responses
bravo pour tes articles aussi variés qu’intéressants. Tu es toujours au top avec ce bel état d’esprit.
Une petite suggestion : après Glavany, ne pourrais tu pas faire un article sur René Bigand. je l’ai un peu connu étant gamin dans la famille éloignée. C’était un gars bien, qui a laissé une veuve et beaucoup d’enfants?
merci.
Bonjour Bernard, la bio de René Bigand est dans les tuyaux mais pour plusieurs raisons liées notamment aux droits d’utilisation de l’image elle ne sera sans doute pas publiée avant plusieurs semaines. Je vais essayer qu’elle le soit pour les fêtes de fin d’années.
Bonjour Arnaud,
Du coup sait-on ce que sont devenues les 16 autres exemplaires?
Bonjour oui on le sait. Certains ont été retirés du service faute d’utilité réelle depuis le milieu des années 2000. Mais la plus part a été détruite par les forces d’invasion russe, notamment lors de raids aériens entre le 24 et le 26 février dernier.
C’était un bon avion/hydravion pour son époque.
Je ne sais pas ce que vaut sa version bombardier d’eau.
Pas sûr que Poutine soit un dictateur en Russie.
Même si on ne l’aimerait pas trop l’avoir comme président.
Comme disait Montesquieu : « vérité en deça des Pyrénées, erreur au delà »